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QUESTIONS FRÉQUENTES SUR LE PROJET

Le projet éolien du Barrois s’inscrit dans une démarche de développement durable du territoire. Il a été développé par la société Calycé Développement dont les bureaux sont à proximité (Brévonnes). Agriculteurs du secteur, nous connaissons les contraintes locales et resterons votre interlocuteur pendant toutes les étapes du projet.

Suite à la COP21 et aux accords de Paris, la France s’est engagée à augmenter la part d’énergies renouvelables dans son mix énergétique, et ainsi rattraper son retard sur ses voisins européens.

De par sa production d’électricité 100% renouvelable, le projet répond aux objectifs portés par le gouvernement à travers la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) qui sont de doubler le parc éolien français d’ici 2028. La zone s’inscrit par ailleurs dans une zone favorable à l’éolien : gisement favorable, peu de contraintes techniques.

Actuellement la puissance éolienne installée en France est de 17 GW, alors que l’objectif est d’atteindre 35 GW en 2028. L’Aube fait partie des départements éligibles à l’installation de nouveaux projets, car il existe encore des zones libres à plus de 1 000 mètres des habitations.

De plus, l’implantation est prévue de telle sorte à être éloignée des habitations (1 500 mètres), soit trois fois la distance réglementaire aux habitations (500 mètres).

Il est prévu de déposer le dossier début 2021 à la préfecture de l’Aube.

Le préfet, après avoir consulté les différents services instructeurs, prendra la décision finale.

Pour la grande majorité, les retombées locales prennent la forme d’un impôt dépendant de la puissance nominale installée, et qui est reversée chaque année pendant toute la durée d’exploitation du parc éolien (au moins 30 ans). Cette taxe est reversée aux communes d’implantation, à la communauté de communes ainsi qu’au département.

A ce jour le modèle pressenti par Calycé Développement est de type Vestas V150 pour le projet du Barrois, dont la puissance unitaire est 5.6 MW. Ce modèle est le modèle le mieux adapté au site d’un point de vue technique d’une part, et permettra par ailleurs de maximiser les retombées locales compte tenu de sa forte puissance (33.6 MW au total).

Pour ce projet, les retombées financières du parc seront d’environ 293 000 €, réparties entre la commune de Magnant, la communauté de communes du Barséquanais en Champagne et le département de l’Aube.

Ces retombées permettront à la commune et à la communauté de communes de financer et réaliser de nouveaux projets dans l’intérêt des habitants.

Vous pouvez bénéficier du projet de deux façons.

De manière indirecte, les retombées financières locales allouées au département, à la communauté de communes ainsi qu’a la commune de Magnant, vont permettre de financer des projets locaux. Si vous habitez dans le département et à Magnant, vous en bénéficierez.

De manière directe, vous pourrez également contribuer au financement participatif citoyen qui sera réservé en priorité aux riverains du projet. Il s’agit d’une collecte de fonds gérée par le spécialiste ENERFIP (Enerfip.fr). Chaque riverain pourra placer de 500 à 20 000€ et ainsi bénéficier des rendements du parc éolien du Barrois.

Nous organisons une campagne de porte-à-porte sur la commune de Magnant, la Ferme de la Chevalière et le Hameau de la Borde les 10 et 11 décembre 2020 afin d’informer les riverains sur la mise en œuvre du projet. Cette démarche ne répond pas à une obligation réglementaire. Elle vient d’une initiative de Calycé Développement, soucieuse de vouloir co-construire les projets avec les acteurs du territoire en amont. Cette étape permettra de collecter plus d’informations sur les attentes et les perceptions des riverains sur la mise en œuvre du projet. Notre objectif est de pouvoir ensuite prendre en compte ces retours dans notre démarche de développement de projet.

La campagne de porte-à-porte a également l’objectif de mobiliser un maximum de personnes pour la permanence publique qui se tient le 17 décembre 2020 en mairie de Magnant. Cette rencontre, organisée à l’initiative de Calycé, est un moment d’échange unique entre le développeur et le public. Après dépôt de la demande d’autorisation , une enquête publique aura lieu et sera encadrée par un commissaire-enquêteur. Celui-ci recueillera l’avis de toutes personnes souhaitant s’exprimer sur le projet déposé et établira un rapport d’enquête afin d’éclairer l’avis du préfet.

La réglementation prévoit une distance minimale de 500 mètres entre une éolienne et les habitations. Cette distance a été définie par l’Etat afin de préserver le cadre de vie des riverains et limiter la gêne sonore. A la demande des élus, nous avons définis une distance d’éloignement supérieure à 1 500 mètres du village de Magnant.

Dans le cadre du projet, nous avons notamment mené une étude écologique, une étude acoustique et une paysagère.

  • L’étude écologique a été faite par le bureau d’études Envol environnement, basé à Dijon et spécialisé dans les études sur la faune et la flore. Le bureau d’étude a réalisé un diagnostic écologique complet sur la zone d’étude et qui a porté sur plus de 20 kilomètres autour de la zone du projet. Pour ce faire, ils ont effectué une quarantaine de sorties d’observations afin de bâtir un état des lieux complet des différentes espèces appartenant à la faune et la flore, leurs habitats et ainsi déduire la sensibilité du site vis-à-vis de l’implantation d’éoliennes. L’ensemble des phases (migration prénuptiale, nidification, migration postnuptiale et hivernante) ont été étudiées minutieusement afin d’aboutir à un inventaire complet des espèces sur toutes les saisons.
  • L’étude acoustique a été éffectuée par le bureau d’étude Venathec. Ils ont réalisé une campagne acoustique sur une durée de 28 jours consistant à placer des micros chez les riverains susceptibles d’être les plus exposés au parc. Les micros visent à mesurer le bruit avant l’installation des éoliennes pour ensuite simuler l’impact du futur parc éolien.
  • L’étude paysagère a été réalisée par le cabinet d’architecture en paysage Lionel Jacquey, basé à Châlons-en-Champagne, avec l’assistance du bureau d’étude Asteca, basé à Maxéville. Cette étude a permis d’analyser l’intégration du parc au paysage, notamment à travers la réalisation de nombreux photomontages. Plus d’une trentaine de sites et de monuments patrimoniaux ont été étudiés sur un périmètre de plus de 20 kilomètres. Des photomontages ont été réalisés de façons à visualiser le futur parc au sein du paysage depuis différents points de vue.
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